Mieux respirer

Le rôle de la fonction respiratoire est de transformer le sang veineux en sang artériel. En effet, lors de l’inspiration le sang s’enrichit en oxygène et l’expiration permet le rejet des déchets gazeux chargés dans le sang, notamment le gaz carbonique. Une bonne respiration peut être bénéfique. Elle a un impact direct sur notre bien-être, notre niveau de stress, et même sur le plan physiologique comme la baisse de la tension artérielle.

Il faut bien s’hydrater

Notre corps contient environ soixante pour cent d’eau. De ce fait, notre métabolisme en a besoin d’au moins deux à trois litres d’eau par jour. Un apport suffisant en eau aide notre corps et notre cerveau à fonctionner de manière optimale. Les aliments non liquéfiés constituent un apport d’environ un litre d’eau par jour pour notre organisme. Il est donc important de boire au minimum un litre d’eau par jour en plus.

Pensez à bouger chaque jour

Même si cela vous parait contradictoire, pour vaincre la fatigue, il faut bouger. En effet, la pratique d’une activité physique quotidienne, ou au moins trois fois par semaine est très bénéfique pour lutter contre la fatigue chronique. Si vous êtes de nature anxieuse ou nerveuse, choisissez des activités aérobies comme la marche, le jogging, le vélo ou la natation. Ces activités vous permettent de travailler votre cœur et aident à calmer votre tension artérielle, grâce à l’endorphine, une hormone synthétisée durant les exercices physiques.

Évitez les excitants

Cigarettes, café ou alcool agissent sur votre tempérament. En tant qu’excitants, ils augmentent votre nervosité et en même temps fatiguent vos neurones. Essayez de diminuer votre consommation de ces produits. Si c’est possible, arrêtez complètement le tabac.

Réduire les médicaments

Les médicaments que vous prenez sont-ils vraiment nécessaires ? Essayez de faire un point avec votre médecin sur vos prises, et sur la nécessité de celles-ci. Commencez par réduire votre consommation. Privilégiez l’homéopathie qui est souvent moins nocive et plus efficace. Choisissez les solutions naturelles dès que possible et après avis médical.

Le montant du SMIC et sa fréquence d’augmentation

Le montant du SMIC est obtenu à partir du salaire horaire de base de l’ensemble des ouvriers et des employés. Il est ensuite couplé à la valeur de l’inflation. Cette opération permet de déterminer le taux horaire. Il est à noter que le calcul du SMIC s’effectue avant la déduction des charges sociales, du versement des primes et des prestations sociales.

Par ailleurs, le SMIC aide les salariés à préserver leur pouvoir d’achat malgré l’inflation. Il est revu à la hausse tous les ans. Il est possible de découvrir sur Buffle de Business les raisons qui expliquent cette hausse. Cette revalorisation a lieu tous les débuts d’année. Cela dit, il se peut qu’il soit revalorisé en cours d’année, quand le coût de la vie fluctue et devient plus élevé. Le gouvernement peut également l’accroître à tout moment.

Les éléments comptabilisés dans le calcul du SMIC

Comme susmentionné, certaines primes et majorations ne sont pas comptabilisées dans le calcul du SMIC. C’est le cas :

• Des remboursements des frais personnels.
• Des primes d’ancienneté, d’insalubrité et d’assiduité.
• Des diverses majorations pour heures supplémentaires : heures de nuit, de dimanche ou de jours fériés.
• Des primes de pénibilité, de vacances, de 13ème mois ou de fin d’année acquittés en versement unique.
• Des primes de participation ou d’intéressement.

D’autres éléments sont en revanche essentiels pour déterminer le salaire minimum interprofessionnel, comme :

• Le salaire de base
• Certains avantages en nature : la mise à disposition d’un logement, la nourriture, etc.
• Les primes et les pourboires sur le chiffre d’affaires de la société.
• Les primes de vacances ou de fin d’année si elles sont versées par acomptes mensuels.
• Les bonus liés à la productivité de l’employé.
• Les primes d’objectifs.

En tous les cas, cette année 2024, le smic a été revu à la hausse depuis janvier et est aujourd’hui à 11,65 euros de l’heure brut et 9,23 euros net.

Le Karaté

Faisant partie des arts martiaux les plus pratiqués, Karaté est aussi un sport de combat qui enseigne des techniques d’attaque et de défense. D’un point de vue physique, sa pratique sollicite les muscles de tout le corps. En même temps, il enseigne aux enfants le respect de l’autorité, de la discipline et de l’adversaire.

Le Judo

Signifiant « la voie de la souplesse », le Judo est aussi un sport de combat de choix pour les enfants. Les techniques enseignées dans Judo apprennent aux judokas à contrôler le poids de l’adversaire pour le faire tomber et de bien garder l’équilibre. En plus des techniques de défense et d’attaque, c’est également ce sport de combat enseigne aussi des valeurs morales ainsi que la confiance en soi et l’esprit d’équipe.

La boxe

On peut penser que la boxe est un sport de combat violent, mais elle peut aussi être pratiquée par les enfants à partir de 6 ans. En tant que sport, la boxe sollicite les muscles de tout le corps, mais elle repose aussi sur la psychomotricité de celui qui la pratique. Il ne faut pas oublier que dans la boxe, les enfants apprennent à respecter les règles et l’adversaire également.

Le Taekwondo

Si votre enfant a un comportement agressif, la pratique du Taekwondo peut l’aider à le gérer. Ce sport de combat entretient la vivacité et la souplesse, mais permet surtout de se défouler. C’est pour cette raison que le Taekwondo est un sport favorable à la gestion de l’agressivité et au stress. Comme il s’agit également d’un art martial, il inculque aux enfants de bonnes valeurs en plus des techniques de combat.

Quand faut-il prier ?

Il y a des moments précis dans la journée où chaque musulman doit adresser diverses prières à Dieu :
• Avant l’aube : c’est à ce moment que le nouveau jour est introduit à Allah. La prière de Fajr doit être effectuée à cet instant.
• Quand le soleil passe au zénith : c’est la prière de Dhuhr qui doit être réalisée. Le croyant se souvient de Dieu et demande sa guidance.
• Dans l’après-midi : le pratiquant prend un peu de son temps pour penser à Dieu et fait le salat Asr.
• Au coucher du soleil : le Maghrib est l’une des prières du soir à faire pour commémorer à nouveau Allah.
• Après la tombée de la nuit : c’est la prière du soir de l’Isha qui doit être réalisé pour se souvenir de la présence et de la miséricorde de Dieu, du pardon et du guide qu’il a offert.

Les heures des prières musulmanes sont donc précises. Ceci étant, elles diffèrent d’un endroit à un autre, à cause de différents facteurs. Si vous êtes en Île-de-France, cliquez sur trouver l’heure de la prière à Paris et pour avoir accès au calendrier des heures de prières musulmanes à respecter dans la capitale française. Bien évidemment, les mosquées fournissent aussi à leurs fidèles des horaires précis et des calendriers muraux.

Pourquoi respecter les horaires de prière musulmane ?

Il est important de respecter les heures de prière. Ce n’est pas une obligation religieuse à maintenir, c’est fait pour avoir un lien spirituel fort avec Allah. En priant à temps, les musulmans pratiquants ont pleine conscience de leur foi et montrent leur engagement envers Dieu. En accomplissant leurs prières quotidiennes aux bons moments, ils peuvent également obtenir des récompenses spirituelles et d’autres avantages provenant de Dieu.

1. Consulter un dentiste au moins une fois par an

Il ne faut pas attendre que vous ayez mal aux dents pour aller chez un dentiste. Comme on aime si bien le dire, il vaut mieux prévenir que guérir. Même si vous n’avez aucune douleur aux dents, prenez toujours l’habitude de voir un dentiste au moins une fois par an. Pour les enfants, le mieux est de faire un contrôle au moins 2 fois par an. Sachez que les consultations préventives aident à éviter toutes formes de complications.

2. Se brosser les dents de manière régulière

Le brossage des dents fait partie de l’hygiène de vie que tout le monde doit adopter. Selon les spécialistes, il faut au minimum 2 minutes pour nettoyer efficacement la cavité buccale. Si vous voulez avoir une santé bucco-dentaire impeccable, brossez les dents après chaque repas ou du moins 2 fois par jour (matin et soir).

3. Utiliser un dentifrice de qualité

La qualité du dentifrice a un effet sur l’efficacité du brossage. Privilégiez un dentifrice contenant du fluor. Pour les enfants, choisissez-en une qui est adaptée à leur âge. Notez que les dentifrices destinés aux tout-petits doivent avoir moins de fluor par rapport à ceux des adultes.

4. Penser à remplacer votre brosse à dents tous les 3 mois

Une brosse à dents usée ne peut pas être efficace pour bien nettoyer votre cavité buccale. À mesure que le temps passe, elle va constituer un nid pour les bactéries. Un brossage efficace s’obtient avec une brosse à dents en bon état. C’est pourquoi il est conseillé de la remplacer tous les 3 mois.

5. Privilégier l’eau par rapport aux jus de fruits et sodas

Le sucre ne fait pas bon ménage avec notre santé bucco-dentaire. Consommer trop de boissons sucrées peut donc nuire aux dents. Ainsi, si vous avez le choix, préférez l’eau par rapport aux boissons gazeuses et aux jus de fruits. Il est aussi recommandé d’éviter le tabac et l’alcool. Vous devez limiter au maximum la consommation de ces substances.

Le deuil d’un proche

Tous les deuils engendrent l’abattement total tant psychique que physique. Mais celui d’un parent proche et surtout d’un enfant est insupportable, inadmissible et pourrait produire un sentiment d’injustice et de culpabilité. La personne endeuillée n’arrive pas à se remettre et se culpabilise d’être en vie à la place du décédé. Si le lien entre la personne et le défunt a été très fort, ça peut virer vers un deuil pathologique.

Comment surmonter son deuil ?

Le deuil est très douloureux, c’est vrai, mais c’est aussi un mécanisme pour celui qui le subit pour se libérer de la souffrance et de sa peine. Après le choc qui est la première étape lors de l’annonce de la mort, le concerné se met à nier la réalité et n’arrive pas accepter que c’est la vérité. Et puis vient la colère car on est conscient qu’on n’est impuissant devant la situation. Le chagrin, les remords, les soupirs, les cris, etc. font surface et ne peuvent aider à faire revenir l’être cher qui a quitté ce monde. L’impossibilité de faire quelque chose pousse certains à devenir agressif. Passé ces étapes assez fortes vient la tristesse et le désespoir. L’avenir devient sombre et obscur. L’accablement est palpable devant la réalité. « Qu’est ce que je vais devenir ? Comment je ferai dans l’avenir sans cette personne qui m’était très chère ? » Puis petit à petit, la raison vient et on se résigne. On n’y peut rien. C’est la vie ! Tout le monde y est déjà passé et la vie continue. En ce moment, on accepte la perte et on arrive à regarder l’avenir. Dès qu’on accepte la perte, le rétablissement, la sérénité et la confiance en soi reviennent plus rapidement. Il faut éviter à tout prix de se replier sur soi-même. Il faut aller sortir pour rencontrer des gens de connaissance rien que pour se changer les idées. Si malgré les efforts qu’on prodigue, la douleur persiste, avoir recours à un psychologue ou adhérer à une association d’entraide pour les endeuillés est vivement conseillé pour ne pas sombrer trop longtemps dans la dépression et subir des séquelles à long terme.

Instaurer une relation de confiance

La confiance est primordiale afin que la relation avec votre clientèle soit cordiale, pérenne et bien établie. En effet, les clients ont besoin d’assurance, de compréhension et de guide dans leurs routines de consommation. Mentionnez toujours vos contacts sur divers supports tels les sites web, les annuaires ou autres. Cela améliorera aussi la visibilité et votre présence sur internet. Vous aurez des retombées positives sur votre commerce.

Réserver un accueil chaleureux à la clientèle

La première impression qu’aura un client sur votre entreprise dépendra de l’accueil que vous lui réservez. À cet effet, veillez à ce qu’ils n’attendent pas trop avant d’être reçus. L’idéal est même de ne pas leur faire patienter. Répondez toujours aux correspondances avec vos clients, que ce soit des mails, des SMS ou des appels. LA réactivité est le maître-mot d’une bonne relation avec le client.

Être toujours à l’écoute des besoins du client

Il faut avoir une oreille attentive face aux demandes des clients. Considérer leurs besoins les poussera à consommer davantage et à devenir fidèles à votre entreprise. Il ne faut surtout pas hésiter à user de divers outils de communication entre vous. À travers les commentaires émis par vos clients, il est facile d’en déterminer leurs attentes et d’en détecter vos forces et faiblesses. À vous de trouver les bons moyens pour bien exploiter ces données.

Une nouvelle méthode de calcul appliquée

Sachez avant tout qu’une nouvelle méthode de calcul DPE-3CL est appliquée depuis juillet 2021. Celle-ci est expliquée longuement dans un document technique de 130 pages. En tout cas, les calculs ne se feront plus sur la base des factures de consommation. Ainsi, le diagnostiqueur ne peut plus établir des DPE vierges. Il peut en outre prendre certains points en compte pour ne citer que le comportement du bâtiment à chaque période de forte chaleur. Vous devez savoir que les changements sur la méthode de calcul ont eu des impacts sur la classe des habitations.

Le DPE devient opposable

Vous êtes sûrement au courant qu’un diagnostiqueur immobilier ne doit pas faire la moindre erreur. Il peut être poursuivi en justice si jamais il commet une telle imprudence. Toutefois, le nouvel acheteur peut aussi poursuivre l’ancien propriétaire si le diagnostic présente des erreurs. Il suffit que l’acquéreur apporte les preuves que l’état du bâtiment est plus grave que ce qui est évoqué dans le rapport de diagnostic. L’acheteur peut alors saisir la justice pour demander un dédommagement. En outre, il doit demander un nouveau diagnostic pour avoir des preuves concrètes de ce qu’il avance.

La durée de validité des diagnostics réalisés avant le 1er juillet 2021

Vous devez savoir que la validité des diagnostics réalisés avant le 1er juillet 2021 a été réduite. En effet, ce dispositif a été imposé par le décret n° 2020-1610 du 17 décembre 2020. Ainsi, chaque diagnostic réalisé entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2017 ne sera plus valable à partir du 31 décembre 2022. D’un autre côté, les diagnostics effectués entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2021 sont valides jusqu’au 31 décembre 2024.

La mise en place d’un projet d’investissement

Le gestionnaire de patrimoine, comme Valority, réalise une analyse rigoureuse de la situation financière et patrimoniale de son client. Il ne retient pas uniquement ses actifs (biens, épargne, comptes en banques, etc.). Il prend également en considération ses passifs (ses dettes et toutes formes d’impayés). Il écoute attentivement les objectifs financiers de son client. Il cherche à savoir s’il a le goût du risque. Après cette phase d’enquête approfondie, le gestionnaire de patrimoine propose à son client le type d’investissement qui convient le mieux à ses attentes. Le gestionnaire de patrimoine expose à son client les avantages et les risques de chaque type d’investissement. Il lui explique comment ces investissements vont augmenter et consolider son patrimoine net (valeur du patrimoine sans les dettes).

Les placements financiers

Le gestionnaire de patrimoine préconise des placements financiers. L’assurance-vie et le Plan épargne retraite figurent dans les options possibles pour un particulier. Le gestionnaire peut aussi lui suggérer des placements en actions. Dans ce cas, il investit son argent dans un Plan d’Épargne en action. Il peut aussi le placer dans un Fonds commun de placement pour l’innovation (FPCI) ou un Fonds d’investissement de proximité (FIP) ou un Groupement forestier d’Investissement (GIP).

Le gestionnaire envisage aussi pour son client des placements immobiliers. Dans cette hypothèse, l’argent de l’investisseur sera placé dans diverses structures : une Société Civile de Placement immobilier (SCPI), un Organisme de Placement collectif en Immobilier (OPCI), un Groupement foncier viticole non exploitant (GFV), etc. Moins classique et beaucoup plus récent, le crowdfunding immobilier est une alternative que pourrait recommander un gestionnaire de patrimoine.

Toujours en ce qui concerne les placements financiers, les Comptes Courants d’Associés (CCA), qui constituent des placements d’entreprise, sont destinés aux chefs d’entreprises. Toujours dans le cadre des placements d’entreprise, le Plan d’Épargne entreprise (PEE) intéresse aussi bien les salariés que les chefs ou gérants d’entreprise. Les placements d’entreprise offrent aux investisseurs un rendement attractif. De plus, la CCA et le PEE peuvent s’accompagner d’avantages fiscaux.

Les placements dans l’immobilier locatif

Dans un tout autre registre, ce professionnel des placements peut orienter son client vers l’investissement dans l’immobilier locatif. C’est une astuce supplémentaire pour percevoir un revenu confortable une fois à la retraite. Le gestionnaire présente à son client des programmes immobiliers neuf et des opportunités d’investissement dans l’immobilier ancien. L’objectif de cette deuxième option est de rénover un immeuble ancien puis de le mettre en location. Les avantages fiscaux sont nombreux : Déficit foncier, loi Malraux, loi Denormandie, loi Pinel, etc. L’investissement en résidence de services (EHPAD et Résidences d’affaires), permettant à l’investisseur d’acquérir le statut de Loueur meublé non professionnel (LMNP), fait partie des propositions qu’un gestionnaire fait à sa clientèle. Il en est de même de l’investissement en résidence étudiante et en LMNP ancien. D’une manière générale, tous les investissements dans l’immobilier locatif ouvrent droit à des réductions d’impôts.

La recherche de financement de l’investissement immobilier

L’élaboration du projet d’investissement immobilier est achevée. Le gestionnaire de patrimoine accompagne maintenant son client dans la mise en place d’un montage financier qui va permettre le financement de ce projet. Si le client ne veut pas mobiliser toutes son épargne dans ce projet, le gestionnaire de patrimoine l’aide à obtenir un crédit immobilier. Cet expert est donc aussi un courtier en crédit immobilier. Pour rendre possible ce financement par emprunt, il s’appuie sur un réseau de partenaires bancaires. En parallèle, il veille à ce que son client comprenne les conditions du prêt qu’il s’apprête à contracter. Il lui explique le taux d’intérêt, les mensualités, la durée du remboursement. Il l’aide à choisir une assurance emprunteur. Enfin, un gestionnaire de patrimoine est en mesure d’aider son client à faire un rachat de crédit si cette opération lui permet de mieux investir par la suite.

L’administration de biens immobiliers

Le gestionnaire de patrimoine ne s’arrête pas au domaine des investissements et des placements. Il a également les compétences pour administrer des biens immobiliers : la gestion locative, l’achat et la vente, l’estimation, la location, le syndic de copropriété, etc.

Pourquoi demander l’aide d’un avocat spécialisé dans ce genre d’affaires ?

L’avocat spécialiste des affaires de traumatisme crânien s’est spécialisé en Droit du dommage corporel (ou blessure corporelle). La première raison est donc évidente : ses connaissances prodigieuses dans ce domaine de la loi. Néanmoins, préférez un avocat qui prend en charge ce type de litige depuis une bonne vingtaine, voire une trentaine, d’années. Là, vous êtes sûr que cet homme ou cette femme de loi vous défendra bec et ongle avec un raisonnement et des arguments irréfragables. Cet expert connaît les articles de loi, les différentes dispositions légales, la jurisprudence, les différentes règlementations. Il les maîtrise. Il jongle avec eux. Il sait quels sont les droits des victimes et quels sont les devoirs des présumés responsables. Il élabore une stratégie sur mesure qui vise à défendre au mieux vos intérêts face à la partie adverse. Ses capacités de persuasion sont telles que souvent il n’est pas besoin d’aller jusque devant les tribunaux pour clore l’affaire.

Ensuite, ce professionnel détermine avec exactitude le montant des compensations financières auquel vous êtes en droit de prétendre. Ce « talent » est indispensable si vous comptez demander une indemnisation. Pour justifier vos exigences financières devant le tribunal ou la partie adverse, il fait appel à un large panel d’experts en plus d’exploiter les preuves que vous lui remettez. Si vous vous défendez seul, il vous sera difficile d’approcher ces experts (qui contacter et comment les convaincre de témoigner pour vous ?). L’avocat spécialisé dans les cas de traumatismes crâniens sera aussi le meilleur interlocuteur des compagnies d’assurance. Sa connaissance des lois est, à elle seule, un moyen de pression pour forcer les compagnies à honorer leurs engagements à votre égard (par exemple : le remboursement des frais médicaux). Enfin, si les négociations ne débouchent sur aucun accord à l’amiable, l’avocat porte l’affaire en justice et il plaide votre cas devant les tribunaux. Les procédures judiciaires sont sa tasse de thé. Son intervention est précieuse si vous souhaitez que l’issue de la bataille légale soit en votre faveur.

Pourquoi ne faut-il pas avoir peur de contacter un avocat ?

Souvent, les victimes se disent qu’un avocat coûte cher. Elles sont convaincues qu’elles n’auront jamais les moyens de payer les honoraires de ce professionnel. Ce type de raisonnement se base uniquement sur des idées préconçues. Vous avez subi un traumatisme crânien par la faute d’une tierce personne ? Contactez un avocat, exposez-lui votre cas, demandez-lui son avis et renseignez-vous sur ses conditions tarifaires s’il s’occupe de votre défense. Vous serez alors fixé sur le montant que vous aurez à débourser lorsqu’il traitera votre dossier. Éloignez cette crainte injustifiée de votre esprit, car psychologiquement, vous avez besoin que la justice soit rendue. Rester passif, sans réagir, dans votre coin ne vous apportera rien, sauf du mal-être. Les dommages corporels sont alors susceptibles de se transformer en dommage moral. L’auteur de l’accident doit être traduit en justice afin que vous obteniez réparation des dommages et des préjudices que vous avez subis.

Vous êtes décidé à ne rien laisser passer. Vous portez donc plainte, mais vous choisissez d’assurer vous-même votre défense. C’est une grosse erreur. Dans une telle procédure, vous devez prouver la responsabilité de la personne physique ou morale que vous estimez être l’auteur direct ou indirect de l’accident. Ce n’est pas une démarche facile, sauf pour un avocat pour qui c’est une routine. Il sait si les preuves en votre possession sont suffisantes ou non et s’il faut en rassembler d’autres. Il sait où et comment récolter des preuves supplémentaires puis les exploiter afin de les « faire parler ». Tous les éléments probants sont présentés aux juges pour établir la responsabilité de la partie adverse. S’il n’y a pas de procédure judiciaire, ces preuves sont portées à la connaissance de l’auteur du traumatisme. L’objectif est de lui mettre la pression pour qu’il accepte vos conditions dans le cadre d’une conciliation.